Une jeunesse démunie

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En 2014, de nouvelles mesures sur l’emploi des jeunes ont été mise en place. En premier lieu, il y a le soutien d’embauche des jeunes sur le secteur marchand ainsi que l’accompagnement des jeunes de plus en plus en difficultés. Il faut lutter contre le décrochage scolaire. La région va avant tout renforcer la capacité d’insertion dans le secteur professionnel pour les apprentis les moins qualifiés jusqu’aux jeunes femmes. Cette mise en place des objectifs va sûrement faire évoluer l’insertion des jeunes, il faut accompagner les personnes les plus démunies (difficulté scolaire ou encore financière) et ainsi développer leur capacité à s’intégrer, pour les mener dans une vie plus active. De nos jours, 573 000 jeunes sont demandeurs d’emploi. Cependant, il est important de connaître que 15 700 personnes sont sorties des statistiques du chômage en début 2017 selon les chiffres du ministère du travail. Malheureusement, cette progression ne concerne pas la jeunesse, où l’on peut voir un chiffre discriminant au taux de chômage en fonction de leur diplôme : avec 21,9 % chez les titulaires ayant un CAR, 10,8 % ayant un diplôme de l’enseignement supérieur ainsi que 30 % pour les non diplômés.

En 2017, le taux de chômage chez les jeunes était de 20 % pour les 15-24 ans. Un chiffre important qui reste un problème car le chômage de l’ensemble des populations actives est de 10 %. Les jeunes les moins diplômés seront ceux qui auront le plus de mal à trouver un métier ou qui auront du mal à bénéficier d’un diplôme très peu reconnu. Un diplôme ne suffit donc pas pour l’obtention d’un emploi. Pourtant, il y a quelques années, le simple fait de posséder un baccalauréat suffisait pour obtenir un emploi bien rémunéré. C’est donc pour cela qu’il faut avoir une meilleure formation « jeune » qui donnera une possibilité à la jeunesse de faire des stages pour diversifier leurs connaissances.

Article rédigé par Anissa | Photo par Emilie

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